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Par sionie_kaline le 21 Avril 2013 à 19:08
SUR LE PLATEAU DES EOLIENNES.
(Les éoliennes font de plus en plus leurs apparitions dans nos paysages. Triste tableau à contempler. Pourtant, notre avenir en dépend peut-être ?)
Sur le plateau des éoliennes
Là-bas tout en haut
Les vents contiennent
Des parfums si chauds
Qui nous retienne
L’aire des berceaux
Brises des plaines.
Sur le plateau des éoliennes
Âgé de peu d’eau
Coule à la chaîne
Ces petits ruisseaux
Non sans rengaine
Courent les coteaux
Tours gardiennes.
Bras de la Seine.
Sur le plateau des éoliennes
De tous ces hameaux
Qui se souviennent
Des vents du plateau
Soufflant les chênes
Jouant les fados
Ban des sirènes.
Sur le plateau des éoliennes
Les temps renouveau
Jouent et contraignent
À tous les assauts
D’où nous proviennent
Flambeaux écolos
Sur le plateau des éoliennes
Énergies de l’eau
Ou aériennes
Chauffe nos fourneaux
Clos les persiennes
C’est tous les signaux
Des Temps modernes.
Mis en musique et interprété par FRANCK COURTHEOUX
Copyright ©Tous droits réservés.
31 janvier 2011
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Par sionie_kaline le 13 Avril 2013 à 10:38
Sous le signe de l'amitié
Cette belle amitié faite pour durer me procure un plaisir sans cesse renouvelé et dont je ne pourrais plus me passer.elle nous devinons nos pensées et nos sentiments respectifs ne cesse de m'émerveiller. Nous nous lamentons ou rions ensemble, nous sommes solidaires dans le tracas comme dans la joie. Peu importe le moment et la fréquence de nos rencontres, indépendamment des expériences que nous vivons, chacun de son côté, nous retrouvons notre amitié intacte.
Cette belle amitié faite pour durer me procure un plaisir sans cesse renouvelé et dont je ne pourrais plus me passer.
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Par sionie_kaline le 6 Avril 2013 à 13:51
On nest toujours la pour payer des dettes
On a tous connus nos martyres On se contente de chaque miette, chaque seconde, chaque soupir
il n’y a pas grand-chose que l’on regrette ou l’ on ne veut plus se souvenir on a bravé tant de tempêtes qu’on ne s’est même pas vu grandir
dis moi que la vie est encore plus belle quand on a plus 20 ans est-ce qu’on peut encore toucher le ciel quand on plus 20 ans donnes moi des monts et des merveilles comme si j’avais 20 ans est ce qu’on t’appeler mademoiselle tu as toujours 20 ans
on joue toujours avec les allumettes avec les flammes, avec le désir on a qu’une envie, qu’une requête de rire comme si on allait jamais mourir on a passé l’âge d’être bête pas celui de se faire éblouir chaque journée est une conquête qu’il faut abattre d’un sourire
dis moi que la vie est encore plus belle quand on a plus 20 ans est-ce qu’on peut encore toucher le ciel quand on plus 20 ans donnes moi des monts et des merveilles comme si j’avais 20 ans est ce qu’on t’appeler mademoiselle tu as toujours 20 ans toujours 20 ans toujours 20 ans
on est venus à bout de le bête et des nuits qui devaient rétrécir on ne battra jamais en retraite on a encore tant de choses à offrir
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Par sionie_kaline le 6 Avril 2013 à 00:01
CONFIANCE HOSTILE
(parole)
Refrain :
La vie nous blesse
Elle n’est pas simple
La vie nous laisse
Seul dans la jungle.
Ils leurs font mal/* en silence
Mais ils gardent leurs confiance
ils savent tout mais/* par prudence
Ignorent tout de leurs souffrances.
ils naissent dans des familles /*
au cerveau et yeux fermé/*
Cette ambiance qui devient hostile/*
Quand le père se déshabille./*
Refrain :
La vie nous blesse
Elle n’est pas simple
La vie nous laisse
Seul dans la jungle.
ils n'on ni frère/* ni de sœur
ils ne peuvent crier/*leurs douleur
ils arrachent leurs bonheur/* dans la fureur
ils supplient du cœur/*. au monde qui est aveugle
Je veut crier/* au monde entier
Pouvoir expliquer/* que ses détraquer
ne sont pas autorisés/*a les toucher
mon courroux commencera/* par la potence
Mis en musique et interprété par JUAN DE SEVILLA
Copyright ©Tous droits réservés
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Par sionie_kaline le 1 Avril 2013 à 22:52
Premier sourire du printemps
Tandis qu'à leurs oeuvres perverses
Les hommes courent haletants,
Mars qui rit, malgré les averses,
Prépare en secret le printemps.
Pour les petites pâquerettes,
Sournoisement lorsque tout dort,
Il repasse des collerettes
Et cisèle des boutons d'or.
Dans le verger et dans la vigne,
Il s'en va, furtif perruquier,
Avec une houppe de cygne,
Poudrer à frimas l'amandier.
La nature au lit se repose ;
Lui descend au jardin désert,
Et lace les boutons de rose
Dans leur corset de velours vert.
Tout en composant des solfèges,
Qu'aux merles il siffle à mi-voix,
Il sème aux prés les perce-neiges
Et les violettes aux bois.
Sur le cresson de la fontaine
Où le cerf boit, l'oreille au guet,
De sa main cachée il égrène
Les grelots d'argent du muguet.
Sous l'herbe, pour que tu la cueilles,
Il met la fraise au teint vermeil,
Et te tresse un chapeau de feuilles
Pour te garantir du soleil.
Puis, lorsque sa besogne est faite,
Et que son règne va finir,
Au seuil d'avril tournant la tête,
Il dit : " Printemps, tu peux venir ! "
Théophile GAUTIER (1811-1872
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